Le décodage biologique

Je souhaite vous présenter ses fondements, ses mécanismes, ses applications concrètes et la manière dont se déroule une séance. L’objectif est de vous donner des clés pour comprendre la signification de vos symptômes et révéler le conflit intérieur.

Ce qui n’est pas exprimé avec des mots s’exprime de manière inconsciente à travers le corps et les organes, les rêves, les actes manqués ou certains comportements répétitifs. Le décodage biologique sert à comprendre ce que l’inconscient a exprimé par le corps. Le décodage biologique déchiffre les réactions du corps. 

Les blessures émotionnelles et les chocs émotionnels non surmontés s’inscrivent dans notre biologie, sous forme de troubles, symptômes ou maladies.

Le décodage biologique est une approche de santé qui permet de comprendre le sens émotionnel et la solution bio-logique que le corps a trouvé à travers une maladie. En effet, chaque symptôme exprime un conflit intérieur souvent lié à un événement traumatique ou à un schéma transgénérationnel. Le corps est ainsi le miroir du psychisme, un messager de l’inconscient. La maladie est le reflet de l’émotion.

La maladie a donc un sens, elle n’est plus une fatalité, ni un hasard. Elle est une réaction d’adaptation biologique. La maladie ou le symptôme est le moyen qu’a trouvé le corps pour survivre à un choc ou pour exprimer ce que la conscience ne peut pas dire ou solutionner.

Depuis, cette approche a été enrichie par d’autres praticiens renommés comme Gerard Athias, Claude Sabbah, Salomon Sellam, Christian Flèche, Bernard Thion… qui ont contribué à structurer et diffuser la pratique du décodage biologique.

Selon Christian Flèche, le symptôme (ou bio-cible) résulte d’un « bio-choc », c’est-à-dire un choc émotionnel intense et non résolu. Quand le corps est confronté à un conflit émotionnel, il active une réponse organique pour résoudre ce conflit biologiquement.

L’émotion « surgit dans un instant d’inconscience, de divorce d’avec soi, à notre insu en un éclair. En effet, on ne met pas un an à tomber malade ou à tomber d’une échelle ou encore à tomber amoureuse puis à tomber enceinte ! Cela prend une fraction de seconde. Cela arrive en un lieu et en un temps précis qu’il s’agira toujours de retrouver. Pourquoi ? Parce que c’est là la seule façon de faire revenir à notre conscience ce qui s’est incarné par le symptôme. Si nous ne revivons pas cet instant, ce « Bio-choc », nous ne pourrons jamais recontacter le sens biologique de la maladie. Il s’agit dans notre approche de ressentir ce que nous avons une première fois senti inconsciemment, à notre insu » (Christian Flèche, Décodage biologique des maladies. L’encyclopédie des correspondances symptômes-émotions, Editions Le Souffle d’Or, 2019, p. 33).

En décodage biologique, chaque symptôme a une cause émotionnelle.
La recherche du conflit déclencheur (appelé bio-choc) est essentielle pour comprendre la fonction du trouble.

Cette exploration repose sur plusieurs axes :

• Le type de tissu ou d’organe touché : chaque organe a une signification précise (par ex. les poumons = peur de mourir ou besoin d’air ; la peau = séparation).
• Le moment du symptôme : souvent, un symptôme apparaît quand le système nerveux sous tension extrême à cause du conflit intérieur, n’arrive plus à lutter. Pour autant, l’élément déclencheur remonte bien avant l’apparition du symptôme.
• Le ressenti biologique : c’est l’émotion vécue au moment du choc qui détermine le type de réponse biologique (symptôme ou maladie). 

Le symptôme ou la maladie est alors une traduction physique d’un ressenti vécu face à un événement. Par exemple, un cancer peut notamment correspondre à un conflit de perte, d’humiliation ou d’attaque symbolique, selon l’organe touché. Cette correspondance est le cœur du décodage biologique, qui propose une lecture biologique des maladies.

Cette lecture biologique ne remplace pas la médecine, elle la complète. Elle apporte une compréhension globale de la maladie, reliant le psychisme, le corps et la mémoire émotionnelle. Ainsi, la maladie cesse d’être un mystère ou une fatalité. Elle devient un message, un symptôme signifiant. Comprendre ce message permet d’agir sur la cause émotionnelle, de déprogrammer les croyances limitantes et de rétablir l’équilibre entre psychisme et corps.

Un conflit émotionnel, selon la loi biologique, est un événement vécu dans la solitude, sans solution immédiate, avec une charge émotionnelle intense. Il provoque une rupture de cohérence intérieure, c’est ce qu’on appelle le conflit intérieur, c’est-à-dire on vit avec ce conflit sans solution.

 Lorsque le cerveau ne peut plus gérer cette tension psychique, le cerveau cherche à résoudre le conflit par la manifestation physique. Cette manifestation peut être un trouble, un symptôme chronique ou même un cancer. Le décodage biologique permet d’identifier ces conflits, de les relier aux émotions et aux expériences passées, pour que vous compreniez la source de votre malaise. 

Ainsi, le corps devient le théâtre de nos émotions inconscientes. Il exprime ce que notre conscience refoule : peur, culpabilité, colère, abandon, tristesse, rejet, ou impuissance.

En séance, je vous guide pour identifier ces conflits :

• Quel événement a précédé l’apparition du symptôme ?
• Quelle émotion a été refoulée ?
• Quelle croyance s’est formée à ce moment-là ?

Ce travail d’investigation émotionnelle permet de mettre en lumière le lien entre l’événement et le corps, pour redonner sens et cohérence au vécu.

Les recherches du Dr Hamer, Gerard Athias puis de Claude Sabbah et Christian Flèche… ont montré que le traumatisme émotionnel agit comme un déclencheur biologique. Le cerveau, cherchant à protéger la survie de l’individu, déclenche un programme biologique spécial. Ce programme se manifeste par un symptôme : douleur, inflammation, prolifération cellulaire, blocage, etc.

 Chaque traumatisme active un type de réaction biologique spécifique, en fonction de la nature du conflit. Par exemple :

• Conflit de séparation → peau (eczéma, psoriasis)
• Conflit sexuel malpropre ou dévalorisant → prostate
• Conflit d’injustice → cervicales basses
• Conflit de dévalorisation intellectuelle → cervicales hautes
• Conflit de dévalorisation sexuelle → bassin
• Conflit de peur ou de mort → poumons
• Conflit de perte d’un enfant ou d’un projet chez la femme → cancer de l’ovaire
• Conflit de séparation entre la mère et l’enfant, la mère tente de l’empêcher de partir ou de mourir → cancer du sein gauche

Le décodage consiste à retrouver la cause émotionnelle de ces manifestations, souvent située dans l’enfance, la vie intra-utérine, ou même la mémoire transgénérationnelle.

Une fois le conflit identifié, le processus de déprogrammation peut commencer. En effet, le but n’est pas seulement de comprendre intellectuellement le lien entre l’émotion et le corps, mais de vivre la libération émotionnelle.

C’est dans cette phase que la personne accède à son pouvoir d’autoguérison. Le corps cesse d’avoir besoin du symptôme pour exprimer le conflit.

Le décodage biologique s’applique à tous les troubles physiques, émotionnels et comportementaux. Pour n’en citer que quelque uns :

• Migraines → difficultés à être à la hauteur ou répondre à des exigences hautes auto-imposées
• Troubles digestifs → difficultés à “digérer” un événement ou une situation.
• Allergies → conflit de rejet ou de défense du territoire.
• Douleurs articulaires → sentiment d’impuissance, dévalorisation.
• Problèmes de peau → conflit de séparation ou de contact.
• Troubles respiratoires → peur, oppression, difficulté à prendre sa place.
• Maladies hormonales → conflit de fécondité, de maternité ou de perte d’enfant.

Dans le cas d’un cancer, la recherche du conflit est essentielle. Un cancer du sein, par exemple, peut exprimer un conflit de nid : perte, séparation, ou inquiétude envers un proche. Un cancer du poumon peut symboliser une peur de mourir ou d’étouffer.

Chaque symptôme a un sens biologique propre, et la libération passe par la prise de conscience de ce sens.

En tant que thérapeute, mon rôle n’est pas de diagnostiquer ni de remplacer la médecine traditionnelle.

Je ne soigne pas. Je propose une lecture biologique et émotionnelle de la maladie, complémentaire aux traitements médicaux.

 Le décodeur biologique est un accompagnant du sens.

Il aide le malade à reconnecter son corps, son esprit et son histoire, pour comprendre la logique du symptôme.

Chez les femmes, les conflits biologiques sont souvent liés à la maternité, au nid, ou à la place dans la famille. Un fibrome utérin peut exprimer le besoin inconscient de « protéger un enfant symbolique ». Les troubles hormonaux renvoient fréquemment à un conflit de perte ou de fécondité contrariée.

 Chez les hommes, les conflits d’impuissance, de responsabilité ou de territoire peuvent provoquer des maladies cardiovasculaires, des problèmes de prostate, de vessie, etc.

Chez les enfants, les symptômes expriment souvent les conflits non résolus des parents. L’enfant devient le miroir émotionnel du système familial. Par le décodage, on peut remonter à l’événement ou au contexte parental qui a généré la tension. J’applique également mon protocole aux enfants.

Dans tous les cas, la démarche reste la même : écouter, comprendre, ressentir, libérer.

La séance se déroule en deux à trois étapes :

1. Observation et écoute : j’explore le parcours de vie du patient, les symptômes et les ressentis émotionnels.
2. Dialogue et analyse : ensemble, on remonte à l’évènement source et on identifie le conflit émotionnel et la signification du symptôme.

Si nécessaire :

1. Travail de libération : j’utilise MON PROTOCOLE pour déprogrammer les blocages et les chocs émotionnels, et permettre de transformer les croyances limitantes et les schémas répétitifs.

À l’issue des séances, vous ressentirez :

• Une compréhension des symptômes
• Une libération émotionnelle immédiate
• Un renforcement de la conscience corporelle et psychique

Le décodage biologique aide ainsi à rétablir un équilibre intérieur et retrouver énergie et sérénité, en donnant un sens concret aux symptômes.

Le décodage biologique n’est pas une alternative à la médecine, mais une approche complémentaire.

Je ne remets jamais en cause la médecine, ni les traitements médicaux.
Mon accompagnement est une démarche de compréhension et de libération, non de substitution à la médecine.

Le décodage est un outil de sens, pas un traitement médical.

D’ailleurs, de plus en plus de médecins, infirmiers et kinésithérapeutes s’y intéressent comme outil de compréhension du sens des maladies.

 Cette méthode trouve sa place dans une vision intégrative de la santé, où le soin du corps s’allie à la guérison émotionnelle. Des études en psychoneuroimmunologie confirment d’ailleurs l’influence du stress et des émotions sur l’immunité, la douleur et la régénération cellulaire.

Le décodage biologique rejoint des courants comme la psychanalyse, la psychosomatique, ou la PNL.

En liant émotion, mémoire et biologie, le décodage offre une passerelle entre le corps et la psyché. Il contribue à une psychologie intégrative, où la conscience du corps devient un levier thérapeutique puissant.

 Je crois en une médecine du futur qui intègrera le décodage biologique afin de relier la biologie, l’émotion et la conscience.

C’est dans cet esprit que je continue à me former, et à accompagner, en alliant décodage biologique, psychogénéalogie et auriculothérapie.

Le décodage biologique est bien plus qu’une méthode : c’est un art de comprendre sa vie à travers le langage du corps. Il nous invite à accueillir nos symptômes comme des messagers de l’inconscient, à écouter nos émotions, et à retrouver la cohérence entre ce que nous vivons, ressentons et exprimons.

Mon accompagnement s’adresse à toute personne souhaitant donner du sens à sa maladie, dépasser un blocage ou transformer un mal-être pour rediriger son chemin de vie. À travers une écoute bienveillante, des outils précis et une profonde humanité, je vous aide à renouer avec la santé, la liberté et le sens.

Q1 : Le décodage biologique remplace-t-il la médecine ?
Non. Il complète la médecine traditionnelle en donnant un sens émotionnel aux symptômes et favorise la prévention et la compréhension personnelle.

Q2 : Quelle différence entre décodage biologique et psychogénéalogie ?
Le décodage biologique se concentre sur le lien émotion-corporel, tandis que la psychogénéalogie explore l’histoire familiale pour identifier les schémas répétitifs.

Q3 : À qui s’adresse cette approche ?
À toute personne souhaitant comprendre ses symptômes, maladies ou blocages, et améliorer son bien-être émotionnel et physique.

Q4 : Comment se déroule une séance ?
Une séance combine écoute et dialogue, et peut inclure d’autres pratiques comme l’auriculothérapie, la psychogénéalogie, avec un travail complémentaire sur son arbre généalogique pour comprendre les transmissions familiales et les schémas émotionnels répétitifs.